MONASTIR-PANTELLERIA

OU

PUTAIN

DE

GRAND-VOILE !!!

Histoire de se mettre en jambe, après neuf mois de farniente maritime,

l’Equipage de la fière Salamandre se heurte au sempiternel

problème de la GV…

En lecteur assidu de ce merveilleux blog, vous connaissez par cœur

les tenants et les aboutissants de l’histoire.

Mais là, malheureusement, les aboutissants n’arrivent pas à concrétisation…

Donc, c’est avec une GV dans l’état ci-dessous

que le voyage s’est effectué…

La Salamandre, qui a perdu sa fierté..

Le bateau a toutefois filé ses 5,5/6,5 Nœuds 

jusqu’au moment où le vent est tombé,

et ou il a fallut mettre la machinerie en route.

Voyage agrémenté par un orage, un peu de pluie

et la plus grosse bonite pêchée par le Capitaine.

Le Capitaine et la plus grosse bonite qu'il n'ait jamais pêchée.

Au matin, nous trouvons une place dans le Vieux Port, sur le quai du fondateur de l’Opus Dei.

(Je suis sympa, je vous passe les commentaires que je pourrais faire, et vous renvoie vers le Da Vinci Code de Dan Brown, ou le film éponyme – ce n’est pas le titre du film, je me permets de le souligner ! – où les faits reprochés à l’Opus Dei sont avérés…)

Or donc, nous voici à nouveau sur ce quai, dont je rappelle les avantages :

1) être gratuit

2) avoir un robinet d’eau

3) être bien abrité, excepté en cas de vent de N-E qui fait entrer la mer dans le port, laquelle fait ressac…etc…etc…

Nous retrouvons des Anglais (Nobody’s perfect !), rencontrés à Monastir.

Pas de preuves photographiques du fait, et c’est regrettable, mais je vous laisse imaginer

l’équipière hissée au niveau de la deuxième barre de flèches,

mettant de l’eau savonneuse sur les plis de la GV, dans la glissière, pour que le Capitaine arrive, péniblement, à rentrer la voile.

Il y aura certainement une suite à l’histoire…