EN
CONCLUSION.
Alors,
les Canaries ?
Justement,
LES Canaries . . .
Aucune
des sept îles de l’archipel
ne
ressemble à celle qui la précède
ou
à celle qui la suit.
Le
ressenti est différent ;
le
tellurisme n’est pas identique . . .
Rares
sont, sans doute,
les endroits de la Terre
les endroits de la Terre
qui
rassemblent, en si peu de distance,
une
telle profusion
et
une telle diversité de nature.
Entre
la minéralité extrême de Timanfaya,
à
LANZAROTE,
avec son aspect rude et lunaire,
avec son aspect rude et lunaire,
et
la forêt de l’ère tertiaire de Garagonay,
à
LA GOMERA,
île ciselée de vallées encaissées
île ciselée de vallées encaissées
et
luxuriantes, aux falaises impressionnantes,
les
disparités sont grandes :
FUERTEVENTURA,
assez plate et aride,
assez plate et aride,
mais
qui possède les plus belles plages;
TENERIFE,
coiffée par le Teide,
coiffée par le Teide,
la
plus haute montagne d’Espagne ;
GRAN
CANARIA,
continent miniature,
continent miniature,
très
escarpée, aux paysages accidentés,
du
Nord verdoyant au Sud aride,
en
passant par les montagnes centrales ;
LA
PALMA,
plus escarpée encore,
plus escarpée encore,
qui
détient le record du dénivelé
le plus raide
le plus raide
par
rapport à sa petite surface,
la
plus verte des îles ;
EL
HIERRO,
austère et rocailleuse,
austère et rocailleuse,
qui
est restée le bout du monde
jusqu’à
Christophe Colomb ;
sans oublier LA GRACIOSA,
minuscule île qui ne possède
aucune
route goudronnée,
libre
de toute circulation automobile.
Douceur
de vivre, absence de stress,
pas
d’agressivité, pas de crainte . . .
Nous
sommes imprégnés du calme
et
de la sérénité qui règnent.
Les
statistiques sont éloquentes :
sur
100 personnes vivant aux Canaries,
73
sont des Canariens,
13
sont des Européens non hispaniques,
12
sont des Espagnols du continent,
et
2 sont Africains.
Le
milieu est certes particulier :
nous
sommes sur des terres volcaniques,
ce
qui demande une adhésion aux paysages
pour
s’y trouver en harmonie.
Un
bémol pour les navigateurs ?
Le
peu de mouillages;
les vents forts qui sévissent,
les vents forts qui sévissent,
dont les accélérations entre les îles
sont
aussi brutales qu’imprévisibles.
Avec
les alizés prédominant de N- E,
il était courant de dire
- et certains le pensent encore -
- et certains le pensent encore -
que la route la plus facile des Canaries
vers
l’Europe passait par les Antilles.
Nous
aurons donc évité les Antilles,
même
si 1 mois nous a été nécessaire
pour
faire, de La Palma, la route du retour
vers Lanzarote.
Nous avons parcouru 816 Milles,
soit 1511 Km.
Vous avez eu droit à 54 articles
et 1168 photos.
vers Lanzarote.
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