Sur les rives du Douro,
les Romains fondèrent deux cités :
Portus et Cale.
Elles fusionnèrent leurs noms
pour former plus tard celui du comté de Portucale.
Pour traverser le Douro
nous avons emprunté
la navette, non loin de la Marina.
Cinq minutes plus tard,
nous sommes à Porto.
Pour nous rendre dans la vieille ville,
nous prenons place dans le tramway
qui date de 1920.
Un poste de pilotage à l'avant, un autre à l'arrière. Ce qui veut dire que l'avant et l'arrière dépendent de la direction. |
L'Eglise Sao Francisco. |
. . . laquelle arbore un beau pentagramme sur sa façade. |
Balades dans les rues.
So british ! |
Henri le Navigateur, devant le globe terrestre, pointant le doigt au delà des mers. |
Le Porto à tous les prix.
99,50 € |
149 € Mais c'est du 40 ans d'âge ! |
Dans cette vieille rue, des artisans atypiques. |
Ici sont fabriqués à la main des ballets, des écouvillons, des blaireaux. |
Chez Francisco Costa et frère, depuis 1948 . . . |
. . .ce sont des pigments qui sont fabriqués et vendus à certains restaurateurs d’œuvres picturales. |
Il vend aussi des feuilles d'or. |
La fontaine d'origine date de 1772. Elle a été remplacée au XVIIIème siècle. |
Beaucoup d' habitations typiques,
aux façades recouvertes d'azulejos,
sont dans un état de délabrement qui fait peine à voir.
Trop tard pour une rencontre anarchique ! |
Pedro IV. |
Vespa boutonneuse. |
Nous sortions de table, sinon un gâteau au cannabis aurait été le bienvenu ! |
Direction le Pont Luis I,
surnommé Pont Eiffel,
pour rejoindre Vila Nova de Gaia.
Les arches de l'ancien pont. |
Ce ne sont pas des arrêts de bus, mais le nom des caves de Porto. |
L'uniforme des étudiantes. Heureusement qu'il n'y a pas de cours l'été. |
Un lapin fait de bric et de broc. |
Le chantier naval,
où sont réparées les gabares,
ces embarcations servant
pour le transport des marchandises
sur les rivières et les estuaires.