vendredi 7 septembre 2012
AU FINAL
Nous nous sommes amarrés à MONASTIR
le
Dimanche 2 Septembre 2012.
Depuis le 29
MARS vous nous avez suivis.
Nous avons parcouru 1.602 milles,
soit 2.966 Km.
Nous avons jeté l’ancre dans 42 mouillages.
Nous avons crapahuté dans 30 villes.
Nous avons fait un Blog.
Nous y avons écrit 103
articles.
Nous y avons inséré 488 photos.
Nous n’avons certes pas fait de grands exploits
en navigation …
Mais l’exploit pour nous a été d’avoir eu un
projet, d’y avoir rêvé,
d’avoir tout mis en œuvre pour qu’il se réalise,
et de l’avoir concrétisé …
La navigation n’a pas changé notre philosophie de
vie ;
c’est parce que nous avions déjà modifié notre
façon d’envisager la vie
que ce projet à pu aboutir …
Merci à la vie …
Nous vous remercions d’avoir suivi nos voyages,
d’avoir
apporté des commentaires qui nous ont ravis.
Votre amitié nous a été précieuse.
Mais les héros sont fatigués ....
Vient le temps du repos .......
Le clavier magique nous permettra de communiquer.
Nous restons par la pensée en contact étroit avec
vous …
MERCI
jeudi 6 septembre 2012
EN RESUME ......
MOUILLAGES
et
VILLES VISITEES
EN CORSE : CALVI, GIROLATA, AJACCIO, BONIFACIO
EN SARDAIGNE : PORTO DE LA TAVERNA, CALA GONONE, ARBATAX, CAPO FERRATO, VILLASIMIUS
EN TUNISIE : BIZERTE, KELIBIA, MONASTIR, SOUSSE
EN ITALIE : LAMPEDUSA
A GOZO / MALTE : MJARR, VICTORIA, XLENDI BAY, DWEJRA BAY, MELLIEHA, ST PAUL’S BAY, SLIEMA, LA VALETTE
EN SICILE / ITALIE : CAPO PASSERO, SYRACUSE, ACI CASTELLO, TAORMINA, REGGIO DI CALABRIA, MILAZZO,
PORTO DI LEVANTE ET CALA DEL FORMAGGIO A VULCANO
CEFALU, SFERRACAVALLO, CASTELLAMARE DEL GOLFO, SAN VITO LO CAPO, FAVIGNANA ET STORNELLO, TRAPANI, ERICE, MAZARA DEL VALLO
ILE DE PANTELLERIA : PUNTA FRAM, PORTO SCAURI, PUNTA DEL CORTIGLIO,
CALA DI LEVANTE, PORTO DIETRO ISOLA ( 2 MOUILLAGES )
RETOUR A MONASTIR
MONASTIR, ENFIN ....
Depuis trois jours, à
PANTELLERIA, nous courons de l’ouest à l’est, puis de l’est au sud, puis nous
recommençons, et finissons par nous
lasser. L’avantage d’une île est qu’il y
a toujours un coté abrité du vent, mais pas forcément abrité des vagues. Aussi
faut-il constamment chercher, sans toujours véritablement trouver le meilleur
endroit. Les logiques de nous autres pauvres mortels, ne sont pas toujours
celles de nos dieux EOLE, POSEIDON, voir ZEUS en personne, alors nous tournons,
nous cherchons, et le résultat n’est pas forcément au bout de notre quête.
Bref, les nuits blanches de crainte d’un mouillage qui lâche, les vents
tournants en pleine nuit, qui transforment en lessiveuse le bateau, juste pendant
une petite demi-heure, le tout étant le résultat d’une météo capricieuse de fin
d’été, et qui donne l’alerte… Il est temps de penser au retour.
Ajoutez à cela, des
zones non couvertes par internet qui nous privent des prévisions météo, nous
faisant découvrir ce qu’étaient les navigations d’autrefois : le nez au
vent, l’observation des nuages, de leurs formes, de leurs couleurs, de leurs
volumes, de leur altitude… Les plus érudits vous parleront de stratus, cumulonimbus,
altomachinbus et de toute la famille
en … bus, qui se déplacent très très vite, nous laissant seuls et
dubitatifs devant un baromètre pas toujours précis, à force de lui tapoter
dessus à la manière des pionniers de l’aviation ...
Puisqu’il est temps de penser au retour, pensons-y,
pensais-je !!! Muni des dernières
informations météo pas très fraîches, enregistrées deux jours auparavant, je
déclare à tout l’équipage, c’est-à-dire à
Brigitte : « C’est demain matin qu’il faut lever l’ancre, et ce
sera à cinq heures !!! » La décision venant d’être prise, les ordres fusent, et l’organisation du bord pour
une traversée en vue d’un autre continent se fait illico. Bon, il est vrai que
pour changer de continent, nous n’aurons qu’à parcourir 45 MN ( 90 Km ), à peu
près 08 H 00 de route. Ce n’est pas ma mer à boire !!! Et pourtant…..
Je réunis l’équipage au complet et explique la route, les
allures, et mes estimations pour cette navigation. Nous serons au portant avec
10 NDS ( 20 Km/h ) de vent, puis nous
traverserons une zone de calme durant une bonne heure environ, et nous devrons
certainement marcher au moteur durant ce temps, puis à l’approche de KELIBIA,
le vent de travers forcira jusqu’à 15 NDS ( 30 Km/h ), ce qui nous fera arriver
plus tôt !!! Tout est au poil.
Dimanche 05 H 00, le réveil sonne. La nuit a été bonne, et c’est
en relative bonne forme que nous levons l’ancre après un petit déjeuner
rapidement avalé. Une légère brise souffle de nord-est, nous établissons génois
et grand- voile, et nous voilà partis pour une formalité nautique de 45 MN.
Nous contournons île de PANTELLERIA par l’ouest et filons plein ouest pendant
deux heures, quand la brise disparait. Le moteur mis en marche, j’en profite
pour contrôler les deux canes à thon installées sur le balcon arrière. Une
demi-heure plus tard, c’est parti…. le moulinet chante, le fil s’étire, la cane
à pêche plie, bref un poisson de belle taille est pris à l’hameçon. Pas d’affolement…
Je m’équipe, je dégage la zone dans laquelle je vais travailler la bête, la
gaffe est prête. Au préalable, j’ai
réduit la vitesse du bateau, réglé le frein sur le moulinet, ne reste plus qu’à
remonter ce poisson, faire la photo, le découper en filet, le mettre au frais,
et attendre le moment de calme pour le déguster.
Pour les assidus du blog, je ne leur referai pas le coup de
la peau de l’ours, bien que les
circonstances suivantes m’y pousseraient presque…..
Toujours est-il qu’au
moment où je m’installe confortablement pour engager une lutte sans merci avec
la bête bourrée de phosphore, et déclare, en prenant la canne à deux mains :
« A nous deux mon petit ! ». ………..Oui,
oui, vous l’avez déjà deviné… Il n’y aura pas de lutte sans merci, pas de
photo, pas de filet de thon, ( à part en boite, peut-être ), rien de tout cela…
Lorsque je prends la canne à deux mains, disais-je….plus rien au bout… Aller je
vous le confirme : « Mais quel pêchaillon je fais ! »
Avec tout cela, car
l’histoire du thon a pris au total trois bons quart d’heure, nous avons fait
route, et avons peu surveillé notre
environnement, à part un tour d’horizon rapide pour s’assurer d’aucune présence
de cargo ou autre danger ; le vent s’est levé légèrement, mais contre
toute attente, de face, puis au près bon plein , nous permettant de
rétablir la voilure et de stopper les machines.
Cette fin d’été propice aux vents changeants, je ne suis pas
inquiet, pensant que le vent va encore tourner et revenir au portant,
conformément aux prévisions météo. Hélas, plus nous avançons, plus le vent monte, pour atteindre 25 NDS (
5O Km/h ) . Nous sortons les harnais de sécurité. Bien sur, nous avons réduit la voilure en conséquence, mais
alliée au vent, la mer se forme et nous commençons par être secoués. Nos
observations ne nous conduisent pas à l’optimisme, ayant remarqués
depuis un bon moment sur l’horizon, une masse nuageuse gigantesque, noircissant
au fil des milles et ayant peu de chance d’être évitée, vue la direction du
vent. Le seul coté positif, est que nous nous trouvons à une quinzaine de
milles ( 30 Km ) de notre point d’arrivée, mais dont nous ignorons la
configuration exacte et les emplacements prévus pour les arrivées mouvementées.
Nous réduisons encore la voilure, le vent monte, nous
réduisons la voilure, le vent monte, nous sommes à plus de 30 NDS ( 60 Km/h ) de
vent, la mer est forte, les nuages sont là, ils noircissent ; nous gîtons
excessivement, les hublots latéraux sont totalement immergés, de plus je ne
peux plus réduire, sinon me mettre à sec de toile. Nous entrons dans la
tourmente, le ciel est devenu sombre et d’un seul coup la pluie se met tomber
avec force, effaçant l’écume du haut des vagues, et nous nous retrouvons devant
des murs d’eau, du ciel et de la mer. L’anémomètre affiche 41 NDS ( 80 Km/h ). J’estime, dès lors, que cette situation et ces
conditions ne seront pas supportables très longtemps, et n’imagine même pas la
possibilité d’atteindre le port de
KELIBIA, et encore moins d’y faire une entrée sans prendre de très gros risques,
tant physique que matériel. La décision est prise, je me mets en fuite, ( passer
du vent de face au vent arrière ) et je
mets cap au sud. Le moteur est remis en route pour un peu de confort et pour
aider le pilote de tenir ; j’augmente
un peu la surface de grand voile, et nous nous retrouvons très vite dans un confort relatif, marchant à plus de 8 NDS (16
Km/h ). Petit à petit, la pluie diminue, nous sommes trempés jusqu’aux os, n’ayant
bien évidemment pas prévus d’avoir à portée de mains les vêtements de pluie. Le vent diminue aussi
de force, la mer s’aplatit, et bien que toujours dans cette masse de nuages
gris, les conditions s’améliorent, et nous sortons du pire. Nous mettons des
vêtements secs, puis une fois le point GPS fait, nous retraçons une route au
sud qui nous mènera à MONASTIR .
Les conditions sont meilleures, nous rétablissons
le génois, et bien que traversant encore
une fois un orage, sans aucune comparaison avec le précédant, nous gardons le
cap. C’est ainsi, que partis pour une formalité nautique de 45 MN, nous
parcourons 1O2 MN ( 200 Km ), et nous arrivons, un poil épuisés, à 00 H 10 au port de MONASTIR . Notre intention de
longer la cote par le chemin des écoliers ne s’est pas réalisée et attendra une
autre année…. INCH ALLAH !
mercredi 5 septembre 2012
AU REVOIR L'EUROPE
SAMEDI 1er OCTOBRE
Nous sommes fatigués de tourner autour de l'île pour nous protéger des vents qui ne savent pas ce qu'ils veulent , et de changer de mouillage deux fois par jour ..... De plus, nous sommes à l'abri dans une crique que n'atteint pas Internet : donc, de Météo, point .... Suffit..... la décision est prise..... nous regagnons demain Monastir, en passant par le chemin des écoliers ...
KELIBIA, HAMMAMET, puis MONASTIR ...
Nous aurions dû ajouter : INCH ALLAH ....
Nous ne l'avons pas fait ! Erreur ...
Le Capitaine vous raconte la suite .....
vendredi 31 août 2012
QUE MARIE-NOËLLE NOUS PARDONNE .....
Nous sommes obligés, par objectivité, de diffuser les photos qui vont suivre ....
Nous avons conscience que leur vue risque de lui être insoutenable ....
PUNTA DEL CORTIGLIOLO CLIQUER POUR AGRANDIR ET FAIRE DEFILER LES PHOTOS |
La lave solidifiée forme de petites grottes |
De PORTO SCAURI à CALA DI LEVANTE |
Impressionnant : la falaise est haute et les maisons bien prêt du bord ... |
Multitude de restanques : oliviers, câpres, vigne ... C'est ici que Carole BOUQUET possède ses vignobles |
Rares taches de couleur entrevues : une façade de maison rose et un bougainvillier ( ou bougainvillée, si vous préférez ) |
CALA DI LEVANTE : nous sommes à l'Est de l'île |
jeudi 30 août 2012
DONC, DISAIS-JE, PANTELLERIA .....
est rattachée à la province de Trapani; 100 Km la sépare de la Sicile; à 72 Km se trouve la Tunisie.
Terre volcanique comptant 24 cratères. Les dernières éruptions aériennes remontent à
10 000 ans, mais le XIX ème siècle a vu des éruptions sous-marines.
La MONTAGNA GRANDE culmine à 836 m.
Les Arabes lui ont donné son nom : BENT EL RIAH, la Fille du Vent.
Nous allons, en fonction des vents, en faire le tour ....Vous allez profiter de nos mouillages ...
PORTO SCAURI |
L'église et des damusi |
L'église est d'inspiration arabe : cubique et minaret carré ... ( je plaisante ! ) |
mardi 28 août 2012
PANTELLERIA
NOUS Y SOMMES .........
Mardi 28 Août
Départ à 6 H 30. Du vent était annoncé... Mais de vent, point ...
Alors c'est au moteur que nous avons effectué les 62 Milles ( 115 Km ) qui séparent MAZALA DEL VALLO de PANTELLERIA
( Province de Trapani, nous n'avons donc pas quitté la Sicile )
La mer était à nous : nous n'avons croisé des cargos qu'à l'approche de l'île.
( Province de Trapani, nous n'avons donc pas quitté la Sicile )
La mer était à nous : nous n'avons croisé des cargos qu'à l'approche de l'île.
lundi 27 août 2012
MAZARA DEL VALLO
AVANT- DERNIERE ETAPE
ET NOUS QUITTERONS DEMAIN LA SICILE
Cela faisait déjà
deux jours que je surveillais les prévisions météo, d’autant qu’une renverse
devait s’opérer, le vent passant du sud au nord. L’étude préalable des
cartes et la route envisagée pour un retour sur Monastir, demandait un courant
d’air venant du nord, ou éventuellement d’est, ce qui à cette époque ne se
produit que rarement.
Donc, disais-je, les
prévisions météo se précisant de jour en jour, nous avons quitté TRAPANI hier matin, Dimanche 26 Août, pour rejoindre MAZARA DEL VALLO,
ville et port de pêche abritant la plus grosse flotte de chalutiers de SICILE
et d’ITALIE, et qui, en plus de nous rapprocher de la TUNISIE, offre (toujours
d’après les cartes) un mouillage devant un brise- lames , nous mettant à l’abri
du nord est et ouest.
Je passe sur la
navigation qui a été une quasi formalité, le vent portant, forcissant au fur et
à mesure du trajet qui ne comportait qu’une trentaine de milles ( 56 Km ). Sur place,
il n’y a pas foule, puisqu’un seul bateau est au mouillage, un très beau cata
de 5O pieds. Nous nous installons, vérifions le mouillage, puis, comme il était
15 H 00, nous nous mettons à table ( non ! pas à la suite d’un contrôle de
police locale, rassurez-vous) car nous avions tout simplement…..faim !
Comme après chaque
repas, la digestion aidant et après une page trois-quart d’une lecture
soporifique, nous sombrons ( pas le bateau) ... Bref nous faisons une sieste….
Vous allez comprendre que nous avons bien été inspirés…
Quelques demie-heures
plus tard ( la sieste calculée en
demie-heures, rend moins coupable !!! ) nous émergeons, réveillés par
quelques voix et trompettes de bord, et, oh surprise lorsque nous regardons
autour de nous, ce ne sont pas moins d’une vingtaine de navires de toutes
sortes qui se trouvent non pas au mouillage, mais qui se croisent, se mettent à
couple, accélèrent, freinent, avancent , reculent, tournent, viennent et
reviennent, et puis il y a tout ceux que nous voyons au loin, qui renforcent l’effectif déjà présent et fort impressionnant. Impressionnant, la diversité
des embarcations : barques, bateaux moteurs de toutes sortes,
professionnels, plaisanciers, de toutes les tailles, puis viennent les voiliers
dont certains ont pavoisé, enfin tout ce qui flotte est là dans cet avant port
qui d’un seul coup devient un peu petit, à tel point que je remarque que
beaucoup d’entre eux ont les défenses en place. Le tout est bien évidemment
bondé, femmes, enfants, vieillards, en tenue de ville. MAIS QUE SE PASSE- T-IL,
ou que va-t-il se passer ??? J’hésite à installer les pares battages, car quelques furieux passent vite et près de La
Salamandre. Je ne suis tout de même pas tranquille, nous nous retrouvons mêlés
à une soixantaine de canots, mais d’un
autre coté assez curieux de la suite des évènements, ayant fini par deviner qu’une
festivité quelconque allait se produire
( l’intuition… l’intuition…).
Une « fiesta » ?
Cela peut être sympa !! Nous allons
vite consulter Internet, afin d’y dénicher quelques renseignements, quand nous
entendons une sono, qui diffuse une marche militaire et un « crieur »
qui lance des « VIVA SAN VITO , VIVA SAN VITO »…Sort du port un
chalutier escorté des Guardia Costiere, paré de feuilles de palmier, totalement
pavoisé, et transportant l’effigie de SAN VITO. Ensuite, tous les navires présents dans l’avant- port suivent en longue procession navale.
Le cortège qui, deux milles plus loin, s’est laissé dériver, a, ensuite procédé à un jeté de couronne, en la
mémoire des marins disparus. Le tout se terminant par un concert de cornes de
brume de plusieurs octaves, et un retour au port chaotique, ponctué par la même
sono diffusant la musique militaire et les « VIVA SAN VITO , VIVA SAN VITO ».
Nous ne sommes pas
venus à MAZARA DEL VALLO pour rien !!!
Minuit, nous sommes
dans les bras l’un et l’autre…. de Morphée, quand une déflagration nous tire d’un sommeil profond, suivi d’une
forte lueur verte traversant les petits hublots de notre cabine. Pas le temps
de s’interroger sur ce qui vient de se produire, qu’une deuxième salve
intervient. Nous sommes attaqués par un feu d’artifice, tiré à une centaine de
mètres, nous positionnant aux premières loges. Fort heureusement le vent léger pousse les résidus
de pétard, loin de la salamandre.
Pour la deuxième fois : Nous ne sommes pas venus pour
rien et « VIVA SAN VITO,VIVA SAN VITO »
Demain, Mardi 28, nous lèverons l’ancre pour rejoindre l’ile de
PANTELLERIA, où nous allons rester quelques jours. Brigitte ne manquera pas de
vous éblouir d’un reportage photos que vous semblez apprécier.
Apparition du chalutier..... |
....escorté par les Gardes Côtes... |
.....pavoisé.... |
Tout le monde se met en route.... |
Et VIVA SAN VITO ! |
Le chantier naval |
Collège des Jésuites : XVII ème |
Du travail pour Jean-Claude : Eglise de Saint Ignazio, XVIII ème, à restaurer. |
Ce qui reste du château construit en 1072, pour lutter contre les Sarrasins. |
Lequel Sarrasin ( reconnaissable grâce à son cimeterre ) se fait occire par un bon soldat Normand et surtout Chrétien. Cette représentation se trouve au dessus du portail de la cathédrale .... |
On peut aussi y lire quelque chose comme " Celui qui vient à Moi sera sauvé ". Les Sarrasins auraient dû connaître le latin .... |
samedi 25 août 2012
DE BRIC ET DE BROC ..........DERNIERES VISIONS DE TRAPANI
Côté nord de Trapani |
Dans l'avant-port...... |
......les pêcheurs. |
Dans le port de pêche .... |
Deux façons de considérer la navigation.... Autel dédié à LA MADONNA ( Mais non, pas la chanteuse ! ) pour les marins. |
Cette statue représente PADRE PIO, vénéré en Italie, devant lequel on allume des bougies.
La flamme est un symbole de purification, d'illumination, d'amour spirituels.
Elle est l'image de l'esprit et de la transcendance.
Mais il faut vivre avec son temps ! Alors, un sou, un interrupteur en position "ON ",
et que la lumière électrique soit !
A quand l'absolution via le Web ? Cochez vos péchés dans la liste, appuyez sur Entrée et vous recevrez par courriel la pénitence à effectuer ... Amen !
mercredi 22 août 2012
TRAPANI
TRAPANI est une
belle fille qui, comme ses sœurs siciliennes, est passée entre les bras (
N’oublions pas que des prostituées sacrées œuvraient à ERICE…) des Phéniciens, des
Carthaginois, des Romains, des Arabes ( en 827 ), des Normands, des Aragonais,
des Espagnols ( jusqu’en 1713 ), des Bourbons, jusqu’à l’arrivée de Garibaldi
en 1860 ….
J’espère n’avoir oublié personne ! Je compte sur votre
intérêt profond pour l’histoire pour me signaler les erreurs qui peuvent se
glisser dans ma prose...
DES RUES QUI RESSEMBLENT A BEAUCOUP D'AUTRES... |
UN CHIEN QUI NE RESSEMBLE A AUCUN AUTRE....
Je compte 14 églises dans la vieille ville. La plupart étant fermées, vous n'en aurez donc pas le descriptif ...
Vous l'avez échappé belle....
Toutefois, vous aurez droit à cette étonnante représentation d'une scène du Chemin de Croix, grandeur nature. Je vous épargne toutes les autres.....
Un parc bien agréable....
Et pour terminer, et pour changer un peu : de la botanique...
FICUS MACROPHYLLA,
ou FIGUIER DE LA BAIE DE MORETON, pouvant atteindre 60 m, originaire d'Australie.Il se développe sous la forme d'une plante grimpante parasite. Quand elle germe sur la branche d'un arbre, elle propage ses racines autour du tronc de son hôte, et finit par le tuer.
Ses racines aériennes rejoignent le sol et se transforment en autant de troncs supplémentaires.
Je compte 14 églises dans la vieille ville. La plupart étant fermées, vous n'en aurez donc pas le descriptif ...
Vous l'avez échappé belle....
Toutefois, vous aurez droit à cette étonnante représentation d'une scène du Chemin de Croix, grandeur nature. Je vous épargne toutes les autres.....
Un parc bien agréable....
Des oies qui font leur toilette .... |
Des canards qui baladent... |
Et pour terminer, et pour changer un peu : de la botanique...
FICUS MACROPHYLLA,
ou FIGUIER DE LA BAIE DE MORETON, pouvant atteindre 60 m, originaire d'Australie.Il se développe sous la forme d'une plante grimpante parasite. Quand elle germe sur la branche d'un arbre, elle propage ses racines autour du tronc de son hôte, et finit par le tuer.
Ses racines aériennes rejoignent le sol et se transforment en autant de troncs supplémentaires.
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