On les appelle des EPAVES…
Mais je les aime…
Elles racontent des
histoires,
des histoires de
marins, de pêcheurs,
des histoires
d’hommes qui ont lutté contre le vent,
contre la mer…
Ces bateaux nous
disent : «Qu’importe ma taille…
J’ai été jeune et fringant, aimé et respecté,
j’ai bien fait mon travail, j’ai
été cajolé…
pour me transformer en carcasse échouée sur le rivage …
Ne suis-je même plus bon à faire du bois de chauffage ? »
Ils restent là pour témoigner d’un temps qui
n’est plus,
et pour que soient
évoqués les hommes qui les ont menés.
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