lundi 9 mai 2016

NOUS QUITTONS LA TUNISIE EPISODE 1

EPISODE 1

NOUS QUITTONS MONASTIR

Au revoir à vous,
Amis très chers,
qui restent au pays:

Sabrina et Fabio
Najwa et Jean-Yves.

Nous n'oublierons pas
Uschi et Bernard,
Ghislène et Christian.

Au revoir,
navigateurs dont la route
peut-être un jour croisera la nôtre:

Gabriela, en pleine action . . .

. . . et Paul

Gisèle . . .

. . .et Christian



Noura et Jacques, nos voisins.





La fine équipe, entourant Hedi, le prof de gym,
avec Simone, Gabriela, Linda et Paul.
Gisèle prenait la photo.
Que de bons moments avons-nous passés ensemble.

Un au revoir particulier à Najwa:
merci pour ta tolérance, 
pour ton respect de l'autre,
pour l'acceptation sincère de la différence.

Merci pour ton amour.



C'était la séance nostalgie . . .



A présent, du pragmatisme.

Or, donc, en ce Lundi 9 Mai 2016,
nous saluons ce qui a été notre cadre de vie.
Il est 9 H 15, heure tunisienne. 

La salamandre vient de quitter sa place.
Noura et Jacques, ainsi que Dominique
nous souhaitent bon vent.

Jean-Pierre et Daniel sont au bout du ponton.



P O U R   L A   P R E M I È R E   F O I S :

le départ de la Salamandre,
grâce aux photos de Jean-Pierre.


Le Capitaine replie le bimini.

La dernière amarre est récupérée.

C'est parti . . . 

Salut de Dominique.



Voila, c'est nous vus de dos . . .




Nous quittons la Marina.


Le chantier naval.

Le Ribat.

Les cormorans font le guet.







PETIT RAPPEL GÉOGRAPHIQUE.

Voila la Tunisie.


Ceci en est le nord.
Que les amateurs de petits drapeaux à piquer 

sur une carte de la Méditerranée
veuillent bien repérer:


MONASTIR ville du départ,
KELIBIA, étape de ce soir,
BIZERTE et TABARKA.

Il est évident que ce projet dépend encore 
de la volonté d'Allah,
du moins tant que nous sommes en terre islamique . . .



20 H 15:
nous sommes à Kélibia,

 après une navigation de 11 heures,
sous un ciel gris d'hiver,
avec des rafales à 25 Nœuds,
et une houle parfois inconfortable.
Le bateau filait à plus de 7 Nœuds.
(C'est plutôt bien, pas vrai ?)

Le plus difficile a été de trouver une place dans le port de pêche, 
le vent, à 35 Nœuds lors de l'arrivée, entravant les manœuvres,
jusqu'à ce que la Police aux Frontières nous signale 
que nous pouvions nous mettre à couple d'un bateau.
Ouf !!!
Il est 21 Heures lorsque le moteur de la Salamandre s'arrête.





2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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    1. Je reproduis le message de Jean-Louis, effacé par erreur:
      Salut
      Prendre une place avec 35 Nds demande la maîtrise d'un(bon)pilote de trial.
      Ouf quand même à la fin.
      Toujours agréable de vous retrouver.
      Bises de Majjoc

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