Nous sommes à la pointe septentrionale
de Lanzarote, à 475 mètres d'altitude,
dans une des créations
de César Manrique,
où se combinent, à nouveau,
l'art et la nature.
Symbole du site représentant un poisson et un oiseau. Métaphore de deux éléments de la nature très présents: l'eau et l'air. |
L'Île de la Graciosa,
avec le mouillage où se sont arrêtés
Kestrel et la Salamandre.
Le garde-fou, en bois et en fer, veut donner à la façade l'aspect de la proue d'un navire. |
L'Archipel Chinijo,
dont fait partie la Graciosa,
est un espace naturel protégé.
Les baleines empruntent le Rio
lors de leur migration.
Au pied de la falaise, les plus anciens marais salants de l'île. |
Le bâtiment est à peine visible de l'extérieur,
camouflé par les roches volcaniques
qui lui permettent de se fondre
parfaitement dans l'environnement.
Sur la terrasse, deux faux bassins. |
La vision privilégiée
sur une vaste partie du nord de l'île
a été utilisée à des fins militaires
à la fin du XIXème siècle,
lorsqu'une batterie défensive y a été installée,
pendant la guerre entre l'Espagne et les Etats-Unis,
concernant Cuba.
IMPORTANT
Comme ces poubelles sont présentes
partout sur l'île,
j'ai pensé qu'elles pouvaient être
une création de Manrique.
Bingo !
L'art est vraiment dans la rue.
A l'intérieur.
Poteries traditionnelles. |
La zone est aménagée en cafétéria. |
Deux grands espaces voûtés,
avec des baies vitrées
nous permettent de de contempler la vue.
Les sculptures, suspendues au plafond,
ont pour fonction de tamiser le son
en évitant sa réverbération.
Oeuvre de C. Manrique. |
Du premier étage, où se trouve le magasin de souvenirs, une fenêtre donne sur le parking. |
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