EL PINAR.
Aucun rapport avec le vin.
Il est fait allusion à la pinède
qui occupe le sud d'El Hierro.
20 minutes par le guagua,
l'autobus transhierro
qui va jusqu'à la capitale, Valverde,
(34 Km) pour 1,14 €.
Nous allons monter jusqu'à 900 mètres,
entre les collines désertiques et les coulées de lave figées. |
Arrêt à El Pinar.
Le seul village de cette zone de forêt:
deux distributeurs de billets, une pharmacie,
une station-service
(Ouverte de 7h30 à 15h,
et de 16h30 à 20h),
un "super"-marché,
un bar-restaurant ouvert,
pour le café ce matin,
et pour le repas de ce midi.
(25 € pour nous quatre avec la cana)
Il fait froid, le vent souffle:
comme nous sommes devenus
des spécialistes des balades dans les îles,
nous sortons couverts.
Sur un mur. |
Sur une île où l'écologie prime, on se doit de collecter aussi les huiles de cuisine. |
Jamais vu . . . Qu'est-ce que cela peut-il bien être? |
Ça, par contre, est une composition artistique. |
Le sport, c'est quand on est jeune . . . |
. . . ensuite, on va en face. |
Un petit malin, qui promène son camion qui sert de blanchisserie et de laverie. Futé sur une île où les laveries automatiques n'existent pas. |
Lieu de la dernière demeure et du repos éternel (enfin . . . en principe) |
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