Je reconnais que le terme "insolite"
est sans doute exagéré,
mais nous faisons avec les moyens du bord.
Aujourd'hui, le Pico est dans les nuages de la tête au pied. |
Du terre-plein, vision sur l'entrée du port. Nous sommes à marée basse. |
La ville. Au premier plan, vous reconnaîtrez le cimetière. |
Je vais d'ailleurs aller y faire un tour.
Sur la tombe, des marguerites en plastique. |
Idem . . . pas pour les marguerites, mais pour le plastique. |
Mais toutes les autres fleurs sont de vraies marguerites. |
En retrouvant le niveau de la mer.
Une piscine naturelle. |
Le port, derrière les blocs de lave noire. |
Devant l'ancienne usine, la pente qui permettait de tracter le cachalot. |
L'usine, qui est aperçue dans le film de 1964, est reconvertie en musée. |
Huiles et farines. |
Le treuil, qui permettait le hallage des 30 ou 40 tonnes du cachalot. |
Marmite pour recueillir l'huile. |
Retour vers le centre - ville.
Une bananeraie, qui, même non entretenue . . . |
. . . donne des fleurs . . . |
. . . et des fruits. |
Lajes do Pico,
malgré sa petite taille,
malgré sa petite taille,
peut s'enorgueillir de deux magasins chinois.
Photo prise du bateau: les anciennes baleinières qui, à présent, servent pour la courses. Le lieu est aussi visible sur le film. |
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