En quittant la Marina del Sur,
nous sommes donc remontés
vers le Nord-ouest de l’île,
vers le Nord-ouest de l’île,
pour trouver un endroit épargné par
la houle.
L’ancre est donc jetée à Spaghetti
Bay,
où nous avons passé une demi-journée
et une nuit bercés par la houle
qui nous a joué sa symphonie,
laquelle est plus belle la nuit,
laquelle est plus belle la nuit,
lorsque la seule envie que nous ayons
est celle de dormir.
Mais voila :
les assiettes faisaient des
claquettes,
les verres s’entrechoquaient,
la bouteille (de vin blanc) jouait du
tambour
contre la paroi du réfrigérateur . .
.
Même les œufs durs dans une assiette
ont joué la sérénade . . .
Tout cela est EPUISANT.
Il convient, c’est ma philosophie,
d’accepter ce qui ne peut être
changé.
Mais cela n’empêche pas d’en avoir
M A R R E !
Au matin, point n’est besoin d’un
conseil de guerre
pour prendre la décision de décamper.
Direction le Nord – ouest.
Et là, nous avons tenté de trouver
un mouillage abrité.
un mouillage abrité.
Départ de Spaghetti Bay . . .avec soulagement. |
LesGigantes : la ville |
Devant las Gigantes ?
C’était passer de Charybde en Scylla.
( Je vous rassure, nous ne nous sommes pas téléportés
dans le détroit de Messine . . .)
Los Gigantes est aussi le nom
de ces impressionnantes falaises de basalte
formant une barrière de 8 Km.
Hauteur: 500 ou 600 mètres,
( selon les sources. )
Alors plus au Nord, peut être ?
Le Capitaine à la barre . . . . . .enfin, au pilote. |
De Nord en Nord,
nous sommes arrivés à la Punta de
Teno,
l’extrémité Nord – ouest de l’île,
en longeant les falaises géantes de
Tenerife.
Quelque chose de bon à manger attire les mouettes. |
En haut de la montagne, MASCA, le but de notre première sortie. |
Stop: on s'arrête
et on jette l'ancre.
Punta de Teno, extrémité NO de Tenerife. |
L’ancre est jetée.
Le vent d’Est se met à souffler.
Nous ne sommes plus protégés par les
falaises.
Des rafales à 30 nœuds . . .
Allez, on décampe . . .
Mais relever la chaîne n’a pas été
une mince affaire :
une mince affaire :
deux mètres de remontés,
une rafale,
trois mètres de redescendus . . .
Le bateau faisait des embardées et le
guideau,
qui n’a pas apprécié
le traitement, a disjoncté deux fois.
L’ancre est enfin sortie de l’eau.
Nous admirons Christian qui relève l’ancre
manuellement,
alors que Véronique est à la barre.
Demi - tour.
Direction le port de Los Gigantes.
Sur la route, les balades - touristes.
Distraction du jour: le marinero donne à manger aux mouettes, devant les touristes esbaudis qui prennent des photos. |
C’est un peu avant le port de los Gigantes
que nous trouvons
un abri idyllique.
Mine de rien, nous aurons parcouru 26
Milles.
Côté bâbord. |
Côté tribord. |
Plus que ce que nous devrons
parcourir
pour nous rendre à la Gomera.
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