SAN SEBASTIAN.
Capitale économique, administrative
et culturelle de la Gomera,
la ville est située au creux d'une vallée encaissée
aux versants abruptes.
Avec 9000 habitants,
sur les 20 800 que compte la Gomera,
cette bourgade plus que tranquille
est fière d'avoir été, en 1492,
le point de départ des caravelles
de Christophe Colomb
vers le Nouveau Monde.
C'est en 2006 que les souverains espagnols
ont inauguré le buste du navigateur.
A son air tourmenté,
il devait déjà se demander
si les Indes se trouvaient à l'Ouest.
Lui-même semblait pourtant déjà y être.
Au fil des rues . . .
bien loin de l'agitation des métropoles.
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| La mairie. |
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| Sur la place. |
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| Comme sur le bateau, la gastronomie prime. |
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| Iglesia de la Asuncion. |
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| Trois rues parallèles forment le cœur de la cité. |
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| La ville est propre: le technicien de surface a droit à un repos bien mérité. |
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| La poste. |
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| Intérieur d'une petite chapelle, Ermita de San Sébastian. |
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| Quelques restaurations s'imposent. |
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| Un dragonnier a trouvé de quoi subsister. |
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| Pour les chats un lieu agréable de repos. |
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| Torre del Conte. Edifiée au XVème siècle, c'est tout ce qui reste des fortifications espagnoles. |
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| Près de la tour, une noria. |
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| Le chapiteau est monté pour les festivités à venir, sous l’œil inquisiteur des ingénieurs. |
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| "Cuba libre": viva la revolucion ! |
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| A côté de la Marina: ostéopathie, massages ayurvédiques, yoga, centre de bien - être. Véronique et moi avons eu recours aux soins du seul ostéopathe de l'île. Diego, aussi charmant que compétent, a du travail assuré. |
La Marina
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| Dans la marina: le rêve des pêcheurs. (La pêche y est interdite) |
Des festivités se préparent:
nous n'allons pas les rater.
nous n'allons pas les rater.
Nous restons donc dans la Marina
quelques jours de plus.
quelques jours de plus.
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