2 MAI
Quelques milles plus au Sud:
LAS GALLETAS.
Bien pour y passer la nuit.
En ville: rien !
Juste de quoi nous déhydrater
devant une sangria . . .
Alors encore plus au Sud:
LOS CRISTIANOS
où nous jetons l'ancre
le Jeudi 3 Mai.
Au dessus du spi, toujours fixé à la filière, l'île de la Gomera, à une vingtaine de milles. |
Nuages du matin.
Toujours un amas neigeux au dessus des montagnes.
Au centre de Tenerife,
le Teide culmine à 3718 mètres,
plus haut sommet d'Espagne.
BALADE DANS PLAYA
DE LAS AMERICAS,
qui jouxte Los Cristianos,
à tel point que l'on ne sait où finit l'une
et où commence l'autre.
Royaume des enseignes au néon
et des touristes nord-européens rouge écrevisse
qui profitent des longues plages de sable.
Mais la ville reste agréable.
Pépères au mouillage, Kestrel et La Salamandre. |
Grands hôtels avec piscine,
centres commerciaux clinquants,
boutiques de luxe,
ont transformé la ville en secteur touristique lucratif.
Il reste peu de chose de cette région de pêche.
Peu de risque de mourir de faim:
les restaurants se suivent
et semblent se ressembler
pour proposer des plats internationaux.
Oeuvre d'art.
( Tout dépend de la conception de l'art )
Une véritable tourterelle. |
Comme à Las Vegas,
on retrouve tous les styles:
romain, grec, khmer, égyptien . . .
Quelques châteaux de sable . . .
L'artiste est à côté de son oeuvre, pour que vous puissiez vous rendre compte de sa taille. ( La taille de l'oeuvre, pas celle de l'artiste ) |
Il convient d'humidifier le monument pour le conserver environ une semaine. |
Nous avons certainement franchi
la frontière:
nous sommes dans Los Cristianos.
Faisons confiance à Véronique
pour nous trouver
un restaurant typiquement italien
qui fait venir ses produits du pays.
( J'aurais dû photographier les pizzas )
Lard dans la rue ! ( Elle est bonne, non ? ) |
Dans le port de Los Cristianos, la preuve que les pêcheurs existent toujours. |
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