LA PALMA

HOLA, AMIGOS

? Que tal ?

Il était 7 heures,

en ce premier jour de Juillet,

lorsque Kestrel et la Salamandre

ont pris leurs distances de Vueltas.

Directioin: La Palma,

dernière île à explorer de l'archipel.

Comme nous risquions d'avoir du vent dans le nez,

le Capitaine a fait prendre l'air

au solent, cette voile d'avant plus petite

que le génois, et qui permet de faire du cap.

La voile est raide comme une cornette de bonne sœur

avant la grand-messe,

ou comme la coiffe d'une Bretonne avant un fest-noz.

Toujours est-il que nous avons parcouru 
les 49 Milles (91 Km)
en 8 h 45.

91 Km, en voiture et sur l'autoroute,
s'effectuent certes plus rapidement,
mais nous étions contents de notre traversée.

Nous sommes sur la côte ouest,
à Tazacorte,
dans une marina,
les mouillages étant inexistants.




Entre mer et bananeraies,
sur la côte ouest de La Palma,
le Port de Tazacorte
propose sa plage de sable noir et de galets,
protégée par une digue,
avec un coin naturiste,
sa poignée de maisons colorées,
ses restaurants de poissons, ses pizzerias,
et son unique petit super-marché.
(Le mot "super" étant superfétatoire)

,

Arrêt (presque) obligatoire:
les glaces artisanales sont excellentes.

Mais oui . . .
ce sont des cocotiers.

Le 1er bal de la murène
méritait une stèle
commémorative. 

Sur les coteaux de la vallée,
les bananerais.

Et contre la falaise, une habitation
à loyer modéré, avec petit jardin
et basse-cour. 

Le long de la route, des activités
 sportives sont proposées.
Un coup de bassin sur la droite,
un coup de bassin sur la gauche . . .

Sortie de la Marina.

Un E.T. a réussi à escalader la jetée.

Cherchez le mât de La Salamandre.

Trouvé . . .

Les salles de bains
méritent bien une photo.