Dimanche 30 Juin.
Balades en deux roues,
dans l' "Île Noire",
au sol presque entièrement recouvert de lave noire,
issue des explosions volcaniques.
Direction: Madalena,
au Nord - ouest de l'île.
Avant la ville, nous traversons des vignobles.
La tradition viticole de Pico
est très ancienne, et reprend de la vigueur
après un long ralentissement.
Au prix d'un labeur intense, par le déplacement de tonnes de basalte, la terre est devenue fertile. |
A l'intérieur des petits carrés délimités par des murets s'est formé un microclimat. La chaleur, retenue par les pierres la journée, est diffusée pendant la nuit. Au loin, Horta, sur l'île de Faial. |
La vigne est plantée pratiquement à même le basalte. |
Les deux îlots de Madalena:
Em Pe, "Celui qui est debout"
et Deitado, "Celui qui est couché".
La trace des coulées de lave est toujours présente. |
Dans le port. |
Direction:
le Mont Pico.
On ne voit que lui, lorsqu'il daigne sortir des nuages. |
Un autre ancien volcan. |
2351 mètres,
le plus haut sommet du Portugal.
Des marches sont le point de départ de l’ascension.
Un dénivelé de 1200 mètres.
7 heures aller et retour.
Un guide est recommandé,
car le brouillard peut tomber rapidement.
Nous ne nous sommes pas portés volontaires.
Derrière le centre d'accueil,
des pierres ont été transformées en visages.
Sur la route . . .
Plus loin, toujours dans les terres,
le lac de Caiado.
Il est 15 h 57. (L'heure est indiquée sur l'ordinateur) |
Il est toujours 15 h 57. (Les secondes ne sont pas notées) |
Le temps s'est écoulé: il est 15 h 58 ! A deux minutes près, nous passions devant sans le voir. |
Par une "route" défoncée,
nous poursuivons notre chemin . . .
Nous sommes entre 800 et 1000 mètres.
Alors . . . la mer est à gauche, la montagne à droite . . . Non . . .la mer est . . . Je ne sais pas . . .Je serre les fesses. |
Arrêt devant deux sympathiques cadichons. |
Les hortensias fleurissent les routes, plus ou moins ouverts, en fonction de l'altitude. |
Retour sur Lajes, par l'Est.
Une baleinière profite du vent. |