La Salamandre était donc à couple du voilier.
Après le départ du bateau, sa place semblait acquise.
Mais voilà qu'un catamaran s'annonce.
Il nous est demandé de nous mettre à couple
du grand bateau bleu désarmé.
Oups !
Il y a du vent, et la manœuvre est plus que scabreuse.
Des pare-battages le long de la jetée,
l'aide efficace du sympathique responsable de la marina
et celle d'un autre plaisancier,
tire d'un côté, pousse de l'autre,
lâche les amarres petit à petit . . .
Le bateau en marche arrière,
le Capitaine arrive à faire un créneau,
en évitant les voiliers,
pour laisser le vent le pousser contre le bateau
désarmé qui va nous servir de ponton.
Ouf !
Plus petite marina n'existe pas aux Açores. |
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