Jeudi 4 Mai.
Nous laissons l’annexe à la Marina,
moyennant finance.
C’est toutefois plus prudent.
Un aimable pêcheur nous a
signalé hier qu’il n’était pas prudent de laisser l’annexe sans surveillance.
Nous insérons nos passeports
dans le détecteur de mensonges,
pour passer la frontière entre l’Espagne
et le Royaume Uni,
et le Royaume Uni,
afin de finaliser
la location de la voiture
qui nous permettra, en Juin, de quérir Alicia à Malaga.
qui nous permettra, en Juin, de quérir Alicia à Malaga.
Refaire la route en sens inverse avec le bateau
n’est pas vraiment une
perspective enchanteresse.
La côte et moche, et il y a peu d’abris.
En face de la frontière, côté
espagnol,
nous nous installons devant une salade,
une fricassée de
poissons-calmars-crevettes,
plus verres de bière évidemment . . .
Ensuite, quelques emplettes à
Mercadona.
Nous voilà de retour à l’annexe,
chargés comme les mulets que nous sommes.
Et là, je vous le donne en mille
( Emile ! ) :
« Où sont mes clés ? ?
? »
La question est formulée par le Capitaine,
qui prend alors
conscience qu’il n’a plus sa veste,
dans la poche de laquelle se trouvaient les
clés . . .
Quid ? ? ?
Avant que le désespoir ne me
prenne
et que je me mette à sangloter,
nous visualisons le trajet effectué.
La
veste était sur le dos du chef à l’aéroport.
Il a donc dû l’oublier au
restaurant.
Nous laissons les sacs de courses
dans l’annexe,
et refaisons en sens inverse le chemin parcouru,
pour récupérer ladite
veste avec les clés.
Nous avons beaucoup marché ce
matin.
Nous avons une vie pleine de
péripéties.
Derrière la jetée, la piste de l'aéroport. Trafic non perturbant, car loin d'être intense. |
Armand va à la pêche aux moules. Il en a, en effet, repéré sur les bouées, le long de la jetée. |
Tout est dans le "presque"... ��
RépondreSupprimerElles se mangent ces moules de bouée?
Pierre