NOUS SOMMES PASSES . . . POUR DE BON . . . BARBATE.

NOUS SOMMES PASSES

Après avoir subi, dans le port de Tarifa, 

pendant deux jours, des vents 
entre 40 et 46 Nœuds, 

(entre 74 et 80 Km / h) 
nous quittons la ville du vent,

 la bien nommée.

Le vent a un peu faibli, 

avec encore une bonne moyenne de 40 Nœuds.

Les deux Capitaines ont réuni leur cerveau 

et ont conclu qu’il convenait de partir 
Mercredi, vers 13 h 30.

Prévisions météo, heure de la marée 
et direction du vent 

sont bien évidemment pris en compte.

A cela s’ajoutent les heures de départ

 et d’arrivée des ferries.

13 h 45, nous sommes partis.

35 Nœuds à l’anémomètre (65 Km / h).

Nous serrons les fesses lors de la sortie du port…

Nous continuons à les serrer pendant encore une demi-heure…

NOUS SOMMES EN ATLANTIQUE.

A droite du phare, la Méditerranée.
Sur la gauche, l'Atlantique.

Et là, oh suprême miracle, 

nous constatons rapidement que les vagues 
de l’Atlantique sont beaucoup plus sympathiques 
que celles de la Méditerranée.

15 Km séparent les côtes du Maroc, à droite, de Tarifa.

Un porte hélicoptère. 

Même si les creux atteignent en début de navigation

 les 3 mètres, l’ampleur de l’onde fait que le bateau est gentiment soulevé sans être secoué.

Le vent faibli. 
Nous arrivons au but de notre navigation, 

B A R B A T E .

Il y a de la houle dans le mouillage prévu.

Direction la Marina.

Nous faisons des yeux un peu ronds devant le prix :

 17 €, eau et électricité compris.

La Salamandre à côté de Kestrel.
Les pontons flottants (ou catway) montent ou descendent
en fonction de la marée.

Nous attendrons la renverse ici, 

décision prise par les équipages féminins.

En attendant : réunion gastronomique sur Kestrel le soir.

Véronique a cuisiné son merveilleux tajine 

et son incomparable gratin d’aubergines.

N’est-elle pas belle, la vie ?

Retour de pêche.
Directe à la découpe.

Au marché.
Nous n'avons pas résisté aux souks !

Balade, entre mer et forêt.

Le port avec la marina.