dimanche 21 janvier 2018

UN DIMANCHE A TEGUISE



Arrivée au quai de ce petit trois mât.




21 Janvier.

Françoise et Guy
nous accompagnent à Téguise,
à 12 Km d'Arrecife où se tient tous les dimanches
le marché artisanal.
Vous avez eu déjà un aperçu du lieu.

Nous ferons, comme lors de notre première visite,
la différence entre:
1) les créations des artisans de Lanzarote
2) les articles chinois.





Il y a un truc !



De la lecture pour les longues soirées d'hiver . . .





















Monsieur Bidochon et sa famille . . .

Des Russes . . .
Ceci expliquant cela . . .



Certainement pas des Anglais, lesquels, 
comme le remarque Françoise, 
n'iraient jamais s’asseoir sur l'Union Jack.

La bidoche à l'air de Monsieur Bidochon
vous prouve la douceur du climat.








Durant la jeunesse, les cheveux sont verts.

En prenant de l'âge, ils deviendront vert-de-gris. 





Instrument australien, 
dans lequel souffle un Aborigène.









1950: Prenez-en de la graine, futures mères . . .
Il est préférable de nourrir un enfant au lait de brebis
que d'en faire un veau avec du lait de vache . . .







Il est tombé quelques millimètres d'eau
ces derniers jours.

Captée par les roches volcaniques
l'humidité a fait reverdir la nature.

. . .enfin, tout est relatif . . . 

vendredi 5 janvier 2018

LE BOUFFON

HISTOIRE DE BOUFFON.


Une histoire que j’aime bien.



Un bouffon dit un jour à son Seigneur :

« Sire, une excuse peut être pire qu’une insulte. »


Devant l’air dubitatif du roi,

le bouffon réplique qu’il lui en donnera la preuve 

avant la fin du jour.


Au cours de l’après-midi,

 alors que le souverain se baissait

pour caresser son lévrier favori,

le bouffon assène une grande claque

 sur le postérieur royal.


Plus que surpris, le roi se redresse et s’entend dire :

« Oh ! Pardon, Sire,

je croyais que c’était Sa Majesté la Reine ! »

FAIT D'HIVER

FAIT D'HIVER

Où la vie dangereuse dans les maisons de retraite...

Le Parisien 3 Janvier 2018

Une femme de 84 ans a été frappée mortellement au sein d’un établissement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), dans la nuit de mardi à mercredi, à Celles-sur-Belle (Deux-Sèvres).

C’est vers 1h30 que le drame s’est joué. Le suspect, âgé de 91 ans et également pensionnaire de l’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes « Les Chanterelles », aurait attaqué deux de ses voisines par surprise, les frappant avec une canne.

Le drame a été découvert par le personnel de l’Ehpad. L’homme a été interpellé par les gendarmes puis placé dans une unité psychiatrique en raison de son état psychologique.

Les pompiers ont transporté l’autre femme, âgée de 86 ans, à l’hôpital de Niort.

L'enquête criminelle a été confiée aux gendarmes de la compagnie de Niort.



Si ce "brave" homme est déclaré 
sain d'esprit par les psychiatres, 
il va se retrouver aux Assises.

Quelle va être la stratégie de l'avocat de la défense ?

Les deux femmes auraient-elles tenté 
de le pousser dans les escaliers ?
Auraient-elles refusé de lui donner leur dessert ?
Auraient- elles repoussé ses avances 
et cela lui aurait-il fait perdre la raison 
momentanément ?

Quant au procureur,
il aura beau jeu d'évoquer la cruauté mentale
d'un homme pour qui tabasser une femme
était monnaie courante.
Mais voila, elles étaient plus solides
à l'époque . . .


A suivre . . .


Amies infirmières qui avaient travaillé
en maison de retraite,
nous aurions dû percevoir 
une prime de risque.


lundi 1 janvier 2018

REMERCIEMENTS.

Je tiens, publiquement, à remercier Jean-Louis
pour sa remarque, en privé, sur Schrödinger
et son chat, concernant ma pochette et son ruban.

Comme une particule, le ruban est donc, à la fois,
fixé ou non fixé sur la pochette, et, en même temps,
fixé et non fixé sur la-dite pochette,
ici et ailleurs,
tel le chat à la fois mort ou / et vivant dans sa boite.

J'aurais dû y penser . . .
Que du non déterminisme,
que des probabilités . . .

Merci Schrödinger.
Merci Jean-Louis.
Merci le Chat.


Un grand MERCI, également, à Pierre,
pour son commentaire poilant,
quoi qu'un peu tiré par les cheveux . . .
Dans tous les cas,
c'est loin d'être rasoir.

1er JANVIER 2018

Nous avons, ce matin, chaussé nos sandales de sept lieues,
pour constater que 2018 ressemble à l'année dernière.

Serait-ce nous qui n'avons pas évolué ?




Le Père Noël fait, en civil, et presque incognito,
des heures supplémentaires.

Tir au canon devant le château de St Gabriel. 

Au mouillage.

De plus près, l'Espadon n'est pas très frais.


Aigrettes . . .

. . . et mouettes.

Tout le monde a fait la fête et dort encore.

Une travailleuse du nouvel an.

Curieux: ici les crèches sont tolérées.


Gaspard, Melchior et Balthazar . . .

. . . ont laissé leur dromadaires.

Le quatrième Roi Mage s'est installé à la terrasse
 du seul et unique bar ouvert . . .

. . . face au Charco de San Gines.


Nous vous faisons parvenir une part de notre beau soleil.
A vous tous, une année pleine de chaleur.