A quelques milles d'Alicante,
se trouve l'île de Tabarca,
minuscule archipel constitué de quatre îles
et de quelques récifs.
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| Arrivée à l'île de Tabarka. |
Nous sommes à TABARCA, en Espagne,
et non à TABARKA, en Tunisie . . .
Et pourtant, le rapport existe entre les deux villes.
En 1742, le bey de Tunis réduit en esclavage
des Génois de Tabarka.
Libérés par l'Espagne, une communauté génoise
est installée sur une île qui prend le nom de NOVA TABARCA.
En 1760, l'île est fortifiée,
afin de priver les pirates qui opèrent à partir d'Alger,
d'une base maritime pour leurs attaques.
Ces génois sont les cousins
de ceux de l'île de San Pietro, en Sardaigne,
dont Carloforte est la principale ville.
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| En commémoration de la fraternité entre les îles de San Pietro et de la Nouvelle Tabarca. |
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| La Lutine et La Salamandre. |
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| Les murailles devant l'église. |
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| La Porte Nord, ou Porte d'Alicante. Entrée principale de la citadelle au XVIIIème siècle, ouverte sur la petite crique où se trouvait le port. |
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| La même porte, avec un vieux Génois d'époque. |
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| L'église. Martine, curieuse, regarde par le trou de la serrure. |
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| Nous sommes dimanche: l'église est fermée; monsieur le curé a droit à son jour de repos. |
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| Le puits: mosaïques d'inspiration arabe. |
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| Ce n'est pas mort... |
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| La preuve... |
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| Le phare. |
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| Tour fortifiée. 1790. |
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| A VENDRE. Vue sur la mer. Prévoir quelques rénovations. |
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| Les cactus font triste figure. |
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| Champ de mouettes. |
Du mouillage.
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| Passager clandestin. Papillon de nuit à tête de maure. (Pardon, à tête de mort !) |
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