dimanche 12 juillet 2015

SALINA



ÎLES EOLIENNES.

S A L I N A .



Dimanche 12 Juillet: direction SALINA.
Nous nous sommes installés à SANTA MARINA SALINA
autrement dit dans la capitale,
au quai gratuit,
en ayant quelques projets:
- aller manger une glace l'après-midi,
- aller savourer une pizza le soir.

Ce qui a été réalisé.

Nous avions aussi prévu 
- de louer un scooter pour balader dans l'île,
-  de réparer l'annexe, qui donne de plus en plus de signes de fatigue,
en la mettant sur le quai.

Hélas, lundi matin, un bel homme vêtu d'un costume immaculé,
arborant des épaulettes du plus bel effet,
la tête orné d'une casquette étoilée,
autrement dit un membre éminent de la Guardia Costiera,
est venu nous dire, dans son bel italien chantant,
que nous devions déguerpir pour la journée,
mais que nous pouvions revenir le soir.

Tous les bateaux sont donc partis.

Adieu veaux, vaches, cochons . . .

Nous avons jeté l'ancre au bout de l'île.


Vous avez eu droit l'année dernière à une visite de la ville
de l'intérieur.

Cette année, vous la contemplez vue de la mer.

















Comme dirait Sabrina,
notre amie italienne
qui parle parfaitement le français:
" C'est le borrrdel  ! "


Armand avait même sorti un moyen de transport,
dont il s'est servi pour faire un tour en ville.
De quoi, parait-t-il, te faire sortir les hémorroïdes internes.
( A cause des pavés.)


Sac à spi et couverture de l'annexe.

Pauvre annexe !
Malheureux réparateur d'annexe . . .



   C A P O    F A R O .
L'ancre est jetée devant cette falaise.
Quelques bateaux au mouillage.

Strates: conséquences du volcanisme.

























CAPO FARO:
pointe N-E de l'île.



L'annexe manquant d'air,
(Il convient de laisser la colle faire son office pendant 72 H)
un retour au quai est nécessaire.

Mais pas avant 18 H, dixit les autorités.

Trois bateaux font des ronds dans l'eau 
en attendant le bon moment.

A peine le temps de se mettre cul à quai que l'invasion 
des gros se produit.
Je fais allusion aux "traîne-couillons".

Dans cet espace réduit, quatre caïques vont s'amarrer.


La Salamandre semble être une petite saucisse
 entre deux grosses tranches  de pain.


Crise du logement.
Les caïques accueillent leurs passagers.


Nous sommes le 14 Juillet . . .
Allons boire une bonne bière et manger une pizza !

Tous les prétextes sont bons pour faire bombance.



Le lendemain, tout ce beau monde s'en va,
nous y compris.

Direction le sud. 



R I N E L L A .


Au pied d'un des "jumeaux".
L'île était appelée DIDYMA par les Grecs,
et GEMELLA par les Romains,
à cause de ses deux volcans éteints.

Il reste toutefois une activité volcanique souterraine.


Du mouillage.



























Au gré de nos pas . . .


Le port. Plage de sable noir.

Le trous creusés pouvaient servir
pour mettre les bateaux à l'abri.
Il existe encore certaines rampes d'accès.




Des bananiers.


Hibiscus de belle taille.
( En comparaison avec la taille du Hobbit à côté. )

Jour de fermeture . . .




Chemin pavé de pierres volcaniques.








Pour les amateurs de restauration,
des découvertes sont toujours possibles.
Année 60/70.
( Sous réserve: une GILERA )

"Je n'y résiste pas . . . "

Rinella est au Sud de Salina.

Levons l'ancre, et filons vers l'ouest.


Sur le chemin . . . 

Comment peut-on être étourdi au point de hisser une voile
à l'envers  ? ? ?

PUNTA PERCIATTO.
Pas très accueillant.

L’œil, vu d'un côté.

Extrémité NW de Salina.


Une pyramide.

L’œil, vu de l'autre côté. 

Retour devant la port de SANTA MARINA,

où nous jetons l'ancre.

Quel exploit  !

Nous avons fait le tour de Salina.



Rappel: 27 Km²
8 Km de long,
6 Km de large.

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