vendredi 27 avril 2018

BALADES DANS L'ÎLE. PREMIER JOUR.








G R A N    C A N A R I A .

Grande, cette île ?

Avec ses 1560 Km², de forme circulaire,
45 Km sur 50,
elle est qualifiée de "grande"
en l'honneur des Guanches, 
premiers habitants de l'île,
 qui ont défendu avec courage leur territoire. 


Il est évident qu'ils ont dû capituler 
devant les envahisseurs, de bons chrétiens 
qui ont su les persuader, avec tact et délicatesse,
de la suprématie de leur religion 
et de leur culture sur les leurs.


Gran Canaria est comparée à un continent
en raison de la diversité de ses paysages
et de ses climats.


Partant de Pasito Blanco,
en montant vers la nord, nous atteignons

 le Mirador Degollada de las Yegues

un canyon de 15 Km.



La musique nous y attend.


A louer pour la tranquillité.






Nous remontons sur 

F A T A G A










Un point d'eau.






Il nous accompagnera à peu près partout:

le  R O Q U E    N U B L O ,

Emblème de l'île,
cet impressionnant monolithe de 80 mètres de haut,
culmine à 1800 mètres.








A son côté, cet espèce de Père Noël,
ou de Pape, selon Christian.





Le point culminant est constitué par le 



L E   P I C O   D E   L A S   N U E V E S

1950 mètres.

Sur la droite, le Roque Nublo.






L'île a subit une sérieuse déforestation.
Après l'arrêt du déboisement,
une partie de la surface forestière perdue
 a été , depuis, regagnée.

Dans les années 1960.

Actuellement.





T E J E D A .


























DANS L'EGLISE.


Je ne me souviens pas d'avoir vu ainsi évoquer
l'entrée de Jésus à Jérusalem.



Trouvé lors de travaux, 
ce crucifié en a perdu les bras . . .














Sur les murs ou les toits, 

les outils ayant servi au travail.






































SUR LE PARCOURS . . .

des fleurs, des arbres . . .
























Pour nous rappeler que nous sommes en terre volcanique,
 un cratère.










Dernière halte du jour:

A R T E N A R A .

Le village le plus élevé de Gran Canari.



Le "corazon de Jesus",
presque semblable à celui de Rio,
protège la ville 

C'est moderne, c'est rouillé,
ce doit représenter quelque chose . . .

Miguel de Unamuno,
contemplant le ravin à ses pieds, écrit:
"Je rêve de la vie,
au dessus de cet abîme."



























Les maisons troglodytes.






A côté de la vieille maison troglodyte,
une récente.




La vue sur le ravin est impressionnante 





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