vendredi 5 juillet 2019

LAJES DO PICO...INSOLITE...


Je reconnais que le terme "insolite"
est sans doute exagéré,
mais nous faisons avec les moyens du bord.



Aujourd'hui, le Pico est dans les nuages de la tête au pied.


Pas loin du centre, ce qui peut
ressembler à une chapelle.




























































Du terre-plein, vision sur l'entrée du port.
Nous sommes à marée basse.





La ville. 
Au premier plan, vous reconnaîtrez le cimetière.












Je vais d'ailleurs aller y faire un tour.

Sur la tombe,
des marguerites en plastique.

























Idem . . .  pas pour les marguerites,
mais pour le plastique.



Mais toutes les autres fleurs
sont de vraies marguerites.




En retrouvant le niveau de la mer.

Une piscine naturelle.

Le port, derrière les blocs de lave noire.


Devant l'ancienne usine,
la pente qui permettait de tracter
le cachalot.

L'usine, qui est aperçue dans le film de 1964,
est reconvertie en musée.




Huiles et farines.




Le treuil, qui permettait le hallage
des 30 ou 40 tonnes du cachalot.


Marmite pour recueillir l'huile.




Retour vers le centre - ville.





Une bananeraie, qui, même non entretenue . . .


. . . donne des fleurs . . .


. . . et des fruits.



Lajes do Pico, 
malgré sa petite taille,
peut s'enorgueillir de deux magasins chinois.















Photo prise du bateau:
 les anciennes baleinières qui, à présent,
servent pour la courses.
Le lieu est aussi visible sur le film.












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