lundi 26 juin 2017

MAZAGON. PUNTA UMBRIA.




M A Z A G O N .

Au mouillage devant les plages.


Une Marina vide . . .





Elle est toujours la bienvenue:
la laverie, 
réservée aux plaisanciers de la Marina, 
mais dont les portes nous sont ouvertes.

( 3 € )



Sur le ponton,
nous rencontrons Juan,
dont le bateau se trouvait 
pas loin du nôtre à Puerto Gelves,
et que nous avons parfois croisé.

Son moteur a des signes de faiblesse.
Le Capitaine lui apporte son aide.








C'est comme cela que s'échangent
réparation du moteur,
jambon, fromage, vin
et bocal de thon.



DÉPART DE MAZAGON.

Déjà, cette nuit, l'odeur de la fumée nous a réveillés.
Un incendie sévit au delà de la ville.



Il est 14 heures.
Il y a toujours des départs de feux.








Le voyage est loin d'être agréable.
Le vent atteint les 30 Nœuds.
Nous l'avons dans le pif
et naviguons au moteur.
Le bateau cogne.

La moussaillonne dort.

3 heures 30 plus tard,
nous naviguons sur le chenal de 

P U N T A    U M B R I A .


Des bateaux de pêche...


Armand me fait remarquer
que les bateaux ont le cul au vent,
bien que celui-ci souffle à 30 nœuds
 lors de notre arrivée dans le chenal.
Le courant de la marée montante
est le plus fort.




Encore des bateaux de pêche . . .

L'ancre est jetée dans un coin tranquille,
loin des bateaux de pêche.



















Un peu de la "petite"histoire,
une de celle qui a permis de modifier
la "grande".


C’est sur la plage de la Bota,
 qu’un matin d’avril 1943,
 le cadavre de « l’homme qui n’a jamais existé »
 a été découvert par des pêcheurs locaux.

Les Alliés avaient conçu une ruse 
pour amener les autorités allemandes
 à croire qu’un débarquement aurait lieu en Sardaigne,
 alors qu’il était prévu en Sicile.

Ils firent en sorte que les Espagnols 
(Certes « neutres » pendant la guerre,
 mais plutôt amis des Allemands) 
trouvent le cadavre d’un officier britannique
détenteur d'un plan du débarquement.


« William Martin » a une histoire qui, 
vérifiée par les Allemands, est authentifiée.

Les troupes allemandes quittent la Sicile, où les Alliés débarquent, ne trouvant que peu de résistance.



« L’homme qui n’a jamais existé » 
est le récit écrit par Ewen Montagu 
qui a fomenté l’opération Mincemeat.



La Salamandre, bien tranquille à l'ancre.
Cabanes de pêcheurs.




Un tour dans une ville bien agréable.
De l’authentique . . .

Le personnel de la Marina
où nous avons laissé l'annexe est accueillant 
 et sympathique.



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