mardi 22 mai 2018

BALADES. Deuxième jour


Aucune route ne fait le tour de la Gomera.

Il faut remonter vers le centre de l'île
pour ensuite descendre vers le sud-ouest.







Nous traversons des montagnes 
arides et désertiques,
avant d'atteindre
Valle Gran Rey.

Route vertigineuse, 
qui sinue au dessus de falaises impressionnantes.
























Au fond, entre les montagnes,
le port de Vueltas,
qui fait suite à la Vallée du Grand Roy.


Nous sommes au Sud:
la végétation est pauvre.



































Vueltas.



















Un mouillage est repéré,
qui pourra nous héberger avant la traversée vers
El Hierro, la prochaine île.




 Arure:
arrêt repas: il pleut.
Nous sommes passés sur l'autre versant,
en direction du Nord.







Quelques kilomètres plus loin,
en remontant vers le nord,
la pluie cesse.







La présence de fougères indique
que le taux d'humidité est important.








"Asperge" des Canaries.
(Dixit Armand)





















     





Nous ne pouvons qu'admirer le travail
de ceux qui ont monté les murs
qui soutiennent la route.




Maisons hautes en couleur.




BANANERAIES.

PAPAYES. 

Cultures en terrasses.










































Au Nord, 
la plage de Vallehermoso.


Une piscine attend vainement le client;
les structures sont en plan . . .
L'argent de l'Europe ?
(Enfin, le nôtre . . .)




La ville de VALLEHERMOSO,
la "Vallée Magnifique" étend ses hameaux
au pied de monts rocheux
et de l'imposant Roque Cano.








































EL CERCADO.

Dans cet hameau
se trouvent les dernières potières 
qui travaillent sans tour, 
selon une technique ancestrale guanche.












Visions sur le parc de Garajonay.



Statue à la gloire du Silbo,
le langage sifflé.


























Pas très chaud aujourd’hui . . .
Et un ciel bas et nuageux rend les photos
un peu tristes . . .




Evocation du SILBO.

Le Silbo est le langage sifflé de la Gomera,
développé par les Guanches 
pour communiquer d'une vallée à l'autre,
et repris par les bergers.

4000 mots composent ce langage,
dont la portée peut aller de 4 à 6 Km,
selon la géographie.

Inscrit au Patrimoine culturel immatériel 
de l'humanité, il est enseigné à l'école.




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