mercredi 23 mai 2018

BALADES. Troisième jour

PARC NATIONAL DE GARAJONAY.

Au centre de la Gomera,
sur 10% de la superficie de l'île,
la laurisylve - ou forêt de lauriers -
en fait la spécificité.





Au Centre des visiteurs,
Juego de Bolas,
nous sommes reçus par des chats
très accueillants, qui sont venus nous recevoir 
au portail et qui nous ont suivis 
dans le petit jardin botanique.






Un film de grand intérêt nous présente la forêt.

L'île est donc chapeautée par une forêt humide,
laquelle est une forêt primaire,
comme celles qui recouvraient 
l'ancienne Europe,
avant que les glaciations ne les détruisent.

Le climat des îles dans l'Atlantique
à permis la conservation de la forêt.

L'absence d'éruption volcanique, 
depuis plus de 2 millions d'années,
a permis la sauvegarde de cette forêt 
épaisse et touffue.


Mousses et lichens recouvrent les troncs.



















L'humidité est constante,
grâce aux alizés qui frappent la montagne
au dessus de 800 mètres.

Dans cette jungle subtropicale,
la brume est quasi permanente.

L'évaporation de l'eau est limitée.




















Lauriers divers, dont des espèces endémiques,
bruyères arborescentes,
fougères . . .




















Peu de lumière traverse la canopée.



























Des animaux ? 
Des oiseaux se font entendre.

Se trouvent en forêt des pigeons, des insectes, 
des araignées . . .

Les seuls mammifères sont les chauves - souris. 

Ce n'était pas l'heure des sorties . . .




De nombreux sentiers permettent 
d'explorer cet univers,
une des forêts les plus denses 
et les plus vastes de ce genre en Europe,
proche de ce qui existait
à l'ère tertiaire.

Classée au Patrimoine mondial culturel 
de l'Humanité par l'UNESCO.



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